Écrit par Blytch Catégorie : Nos Interviews
Publié le 29 avril 2009 Affichages : 4164
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Interview Garden Mask
par Blytch



Bio :


Garden Mask est un groupe de rock de Tarbes (Hautes-pyrénées; Midi Pyrénées;

France). Le groupe aux influences rock multiples, s'efforce de créer une musique

parfois énergique, parfois planante, sur laquelle viennent se poser des textes

en anglais. La musique est en constante évolution et ne se voit privée d'aucune

"borne" créative, en effet, les membres de Garden Mask écrivent et composent

leurs morceaux ensemble, le partage d'idées étant une valeur essentielle dans

l'esprit du groupe.



Line-up (depuis mars 2008):

Julien : Guitare

Rémi : Basse, harmonica

David : Batterie, guitare slide

Olivier: Piano, orgue, synth



Interview :


Salut les garden mask, petite présentation du groupe, avec notamment

les influs de chacun & l'histoire de garden mask .

(David) Salut ! Alors Garden Mask c’est 4 musiciens, Julien, Olivier, Rémi et

moi-même. Olivier est le dernier arrivé dans le groupe, depuis octobre 2008,

quant à Julien, Rémi et moi-même nous jouons ensemble depuis 3 ans.

Pour ma part, mes influences les plus fortes sont étalées sur plusieurs

décennies, avec le rock des années 70 (Pink floyd, Genesis, Led Zep…), le métal

(Iron maiden, dream theater, Metallica…) mais ce n’est pas que rock, je peux

très bien écouter Daft punk comme Cypress Hill, comme Pat metheny….


(Julien), guitare et chant , 25 ans, influences variées, j'écoute un peu tout ce

qui tourne autour du rock et du métal mais aussi un peu de rap et d'éléctro.

Quelques groupes system of a down, pink floyd, iron maiden, daft punk, cypress

hill... et plein d'autres. Garden mask pour moi c'est quatre potes qui joue

ensemble, qui créée ensemble, qui essaye de passer un message musicale au gens

qui veulent bien l'entendre.


(Rémi), basse chant harmonica,20ans,influences variées : Rock, métal, jazz,RAP,

electro:SOAD, public enemy,RATM,pink floyd,Red hot chili peppers,justice.


(Olivier), claviers, 21 ans. Influences Blues, Rock 70’s, Jazz, Hip-Hop,

Electro. Après un long travail dans le style jazz, je retourne vers un jeu

élagué à la recherche des sonorités qui correspondent au mieux aux morceaux en

cours. Quelques références : Herbie Hancock, Petrucciani, Santana, Sayag Jazz

Machine, Sound Providers…



Votre disque "8 tracks" est sorti le 10 février 2009, quelles sont

les différences & les évolutions entre lui & votre démo 4 titres

sortie en avril 2008 ?

(Rémi) Après que notre chanteur nous ait quitté, on a fait un travail sur nous

pour savoir quel style de musique adopter. Et après quelques coups d'essai on

est arrivé à enregistrer quelques titres qui pour nous, nous correspondent. Ce

qui n'était pas le cas de l'ancienne démo.


(David) Je pense qu’il y a 2 évolutions entre ces deux lp. La première est que

nous avons changé de Line-up entre les deux disques, et par là même d’état

d’esprit, mais également, nous avons essayé d’améliorer notre enregistrement et

notre mixage (que je rappelle, est toujours réalisé par nous-mêmes et nos

moyens…) par rapport au premier lp. Après bien sûr, de nouvelles compositions

sont apparues sur la démo « 8 tracks ».


(Julien) On a ré enregistré quelques morceaux qu'on faisait à l'époque où il y

avait un chanteur dans le groupe puis nous avons enregistré de nouveau morceaux

bien sûr, il y a aussi la présence des claviers d'Olivier qui apport énormément

à notre musique.


On peut retrouver les 2 en téléchargements gratuits & légaux sur le

net, où vous êtes d'ailleurs très présents, notamment sur des sites

de diffusions & de téléchargements gratuits. C'est une vraie

volonté de votre part d'offrir en libre accès votre musique au

public & par conséquent de montrer que le web est un formidable

outil de diffusion artistique & non son assassin ?

(Julien) Oui en effet c'est pour nous le moyen le plus simple de se faire

connaître, on est tous d'accord pour dire qu'internet est une réelle aubaine

pour les groupes, évidement ça ne plait pas à certaines grosses compagnies, mais

franchement la musique c'est fait pour être écouté et à notre niveau c'est

vraiment le meilleur moyen d'être diffusé sans parler de la scène bien sûr.


(David) Il est clair qu’internet est une formidable vitrine pour un groupe comme

nous qui essayons de nous faire entendre et voir. Je me demande comment faisait

un groupe, qui débutait il y a 20/30 ans, pour ce faire entendre…et j’ai ma

réponse, ils faisaient des concerts, 5 X, 10 X plus de concerts sur une année,

que tous les concerts que nous avons pu faire depuis 3 ans ! C’est dire le

décalage. Pour nous, les concerts ne nous tombent pas sous le nez tous les jours

et ça serait se tirer une balle dans le pied que de refuser Internet et ce qu’il

apporte. Pour ce qui est du téléchargement légal et gratuit, et bien, tout le

monde est plus ou moins au courant maintenant. L’industrie musicale a pris un

sacré coup au cul sauf qu’elle ne veut pas lâchée l’Affaire fric, et que de par

des projets de loi comme Hadopi, veut tuer toutes libertés artistiques que nous,

artistes, pourrions enfin obtenir. Bien sûr, je ne dis pas « oui » à toutes

formes de criminalité (piratage en masse…), mais à ce que l’artiste reste maitre

de son œuvre et de la valeur à laquelle il souhaite la partager, sans se faire

damer par les majors et sans prendre les gens pour des vaches à lait ! Si

internet et le format numérique tombent, on va en prendre encore pour 20 ans de

merdes musicales !


(Rémi) En effet on a vu en peu de temps le net prendre un essor considérable et

c'est tant mieux, car pleins de groupes n'ayant pas forcément les moyens de

faire un disque peuvent se promouvoir par le biais de la toile. Ainsi on voit

apparaître une multitude de groupes sur pleins de sites de diffusion qui

proposent de la musique gratuite....c'est sur ça ne plaît pas aux grosses

maisons de disques qui sont en pleine agonie à cause de la musique gratuite ou

piratée, mais elles ont fait leur temps et maintenant c'est l'ère d'internet.

Internet n'est donc pas l'assassin de la musique, au contraire il met cette

musique a disposition de tout le monde et les artistes doivent s'y adapter.


(Olivier) Il ne faut plus se le cacher ; qui aujourd’hui ne télécharge pas de

son ? L’espace musical du téléchargement permet aux jeunes et nouveaux artistes

de se créer une place sur la toile et de se faire connaître. La grande tendance

aujourd’hui repose dans la prestation scénique. Les festivals de musique sont de

plus en plus nombreux dans toutes les régions de France. C’est donc en « Live »

qu’un groupe doit savoir au mieux prouver ce qu’il sait faire.



Niveau concert, je signale à tout le monde que votre prochain est le

1er mai à ramonville & en profite pour vous demander comment se

passe le show scénique du groupe ?

(Julien) Et bien rien n'est vraiment défini à l'avance à part le programme bien

entendu, chacun s'exprime à sa manière, pour ma part je bouge pas mal sur scène

par contre je n'aime pas trop parler pour ne rien dire au public et balancer des

« ça va ce soir » « vous voulez du rock », ce n’est pas trop mon truc après

c'est peu être un tort.


(Rémi) Je n'aime pas trop parler pour ne rien dire aussi, je suis juste là pour

jouer notre musique et faire plaisir aux gens. Le jeu scénique n'est pas non

plus prédéfini, il est fait en fonction de l'humeur de chacun. On n'est pas des

pantins qui exécutent des mouvements pré-établis et calculés à l’ avance....


(David) En ce qui concerne le concert du 1er mai, nous participons à un tremplin

(dont je tairai le nom… mais je pense déjà que vous voyez de quoi je parle…) qui

au départ semblait tenir la route, mais qui par la suite s’est révélé être un

vrai guet-apens à fric et tout ce qui s’en suit. Le concert du 1er mai concerne

un second tour car nous avons passé le premier tour en novembre dernier (le vote

se fait à main levée dans le public !...). Quoi qu'il en soit, il est clair que

ça sera un second et dernier tour pour nous dans ce tremplin, car nous comptons

ramener…personne ! C’est un peu notre vengeance, parce qu’il faut signaler

également, qu’en plus de faire payer les groupes pour jouer, ce dernier doit

ramener le public au concert en empochant…. Nada ! Alors, avis au groupe, NE

PAYEZ PAS POUR JOUER (surtout si derrière, il n’y a aucune retombé valorisante

pour le groupe !) ET RESPECTONS NOTRE MUSIQUE ET NOUS-MÊMES !


(Olivier) On fait du rock pas de la pop alors s’il vous plaît…


 

Comment vous est venue l'idée des visus du groupe, ces masques (on

se doute du rapport avec votre nom) légèrement inquiétant ? on a une

sacrée impression de décalage avec la musique du groupe, déjà

beaucoup moins inquiétante elle.

(David) En fait, c’est plus parti de la recherche du nom dont dépendent les

visus actuels. Il y un peu plus d’un an, avant de changer de line-up, nous

avions décidé de changer de nom, on s’y est tous mis ! Pratiquement à chaque

répèts, pendant un mois, on faisait un point pour discuter de noms qui nous

étaient venus à l’esprit et celui qui est restait est celui de Garden Mask. Cela

a été une décision collective. Le nom m’est venu en pensant que cela nous

concernait tous, les masques dans lesquels nous cachons pratiquement tout de

nous et cela tout le temps. C’est universel. Et puis à la prononciation, cela

sonne à la fois limpide, doux (Garden) et tranchant (Mask), cela peut faire un

lien avec la musique que l’on fait.

Pour revenir aux visus, je pense qu’ils vont évoluer tout au long de la vie du

groupe et ne resteront pas forcément focalisés sur le masque, ou le nom du

groupe, ça serait trop réducteur.


(Julien) Les masques c'est quelque chose que tout le monde connait, puisque

chacun porte des masques dans la vie, après le masque paraît peut-être

inquiétant, mais ça sert à ça un masque, c'est fait pour cacher les choses. Pour

ce qui est des dessins la plupart sont de moi avec des arrangements de David qui

a aussi fait les super photos trafiquées.



Sur pin-up princess les filles sont légèrement moins "masquées",

notre jardin de princesses vous plait tout de même ?

(Julien) Franchement ... ouais !!!



Désormais la question que je pose à chaque invité, pouvez-vous nous

parler d'un(e) artiste, musical(e) ou non, à qui vous voudriez

donner un coup de pouce ?

(Julien) Moi je voudrai donner un coup de pouce à Carla Bruni pour qu'elle

s'achète des cordes vocales... non ça va loin la c'est quand même la première

dame de France!


(David) En ce moment, sans savoir pourquoi, j’écoute un groupe de hardcore,

Death valley club, de Toulouse, avec qui nous avons pu partager une scène du

côté d’Auterive (31) l’an dernier. Sur le moment, leur prestation ne m’avait pas

forcément emballé, mais après être allé sur leur myspace, j’apprécie vraiment ce

qu’ils font, il y a un fond très intéressant.


(Rémi) Moi j'aimerai juste pousser (dans un ravin) tous les artistes de variété

française actuelle qui nous resservent les mêmes plats avec des sauces

différentes et qui ,soit dit entre nous, prennent les auditeurs ou plutôt les

consommateurs (parce que pour être un bon auditeur il faut consommer et dépenser

des euros) pour des cons...


(Olivier) « Boulevard des airs », de bons amis à moi



Garden mask, je vous remercie pour cette interview, un dernier mot

pour ses lectrices & lecteurs & pour le site pin-up princess ?

(Julien) Merci à vous et continuons tous ensemble à faire vivre la musique sur

internet et sur les scènes, si on à pas la gloire il nous reste le ROCK'N'ROLL.


(David) Merci à vous pour avoir lu cet interview et à toi blytch pour permettre

à des groupes comme nous de se faire entendre !


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Écrit par Blytch Catégorie : Nos Interviews
Publié le 15 avril 2009 Affichages : 4087
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THE SOUL I AM

par Blytch

 

THE SOUL I AM est né en janvier 2008, suite à la rencontre de David Rivet (musique et instruments) et de Christophe Milleret (paroles
et chant).
David a une expérience assez longue de la scène musicale (EXECUTION, SOLARIS). Christophe a participé à divers projets. Il a en outre
prêté ses services de photographe, de traducteur (LATRODECTÜS, BLISS OF FLESH), et il écrit les paroles du groupe de brutal death
DARKALL SLAVES.

Le groupe a réalisé 4 démos et une compilation en 2008.   
La seconde moitié de 2008 est consacrée à la composition du premier album.   
Le 9 mars 2009, sort Living while the twilight, premier album de THE SOUL I AM.  
L’écriture des paroles a demandé beaucoup de temps et de réflexion, afin de sortir des sentiers battus, et rebattus, par la scène metal.
Musicalement, si Living while the twilight reprend des éléments du metal extrême des années 90 et 2000, le résultat est atypique, et hybride.

La violence de certains passages fait écho à la mélancolie d’autres. Le côté industriel répond à une urgence organique. Pour THE SOUL
I AM, l’album sonne comme du metal black expérimental.

Tout amateur de musique brutale peut y trouver son compte, mais ceux qui préfèrent l’indus ou le gothique peuvent certainement
apprécier l’esprit de l’album.
L’adjonction de machines se traduit par une ouverture spectaculaire du spectre musical, qui donne une pluralité d’ambiances : sombres,
oppressantes, désespérées, mélancoliques. Les fantômes de SAMAEL, HACRIDE, DIVISION ALPHA, SLAYER, MAYHEM, SUP ou
PARADISE LOST ne sont pas loin.

La suite de l’existence de cet album sera consacrée à lui trouver un label, et/ou un distributeur. Dans le paysage metal encombré et en
crise de notre époque, l’originalité de Living while the twilight peut jouer en sa faveur.
Interview de Christophe (paroles & chant) :   
Christophe bonjour, présentes-nous brièvement le groupe, pour tous ceux qui vous découvrent : vos influs, vos rôles dans 
le groupe...

Salut Blytch. Nous avons formé THE SOUL I AM début 2008, avant tout pour donner vie à nos propres aspirations musicales. Nous avons
un passé qui commence à être conséquent dans ce domaine, et nous voulions l'exploiter, de même que nos expériences personnelles, afin
de créer nos propres compositions. David cherchait un chanteur depuis quelque temps, car il avait commencé tout seul. Necurat de BLISS
OF FLESH nous a mis en contact, et nous nous sommes lancés dans l'aventure.

Pour ce qui est des influences, nous avons écouté tellement de choses que c'est difficile de les décrire précisément.
Nous avons grandi avec la musique des années 90, et cela se ressent. Les groupes de death, thrash, doom, black et indus de l'époque
nous ont marqués.
Mais nos goûts sont très vastes, et nous avons aussi beaucoup appris d'autres scènes, que ce soit avec Depeche Mode, The Cure, Pink
Floyd, le metal actuel, le rock gothique, etc.
Pouvez-vous nous parler du moment où l'idée de The Soul I Am a germé ? du black métal à 2, à distance n'étant pas très 
courant & donc pas forcément simple à imaginer.

De prime abord, c'est peut-être difficile à imaginer, mais finalement cela nous a plutôt aidés, car il est toujours compliqué de maintenir
un line-up avec une formation traditionnelle. Pour notre part, nous sommes deux, donc les choses sont bien plus simples. Le fait d'être
séparés d'une distance assez importante a juste imposé de se fixer des règles différentes. Nous avons commencé en exploitant les
compositions de David. Je les ai écoutées, j'ai écrit des paroles et je suis allé le voir pour enregistrer. Tout a très bien marché ainsi, alors
nous avons continué avec cette méthode.

Il est clair que cette façon de fonctionner nous a permis de faire fonctionner un groupe, alors que séparément, nous n'aurions jamais
rien pu faire. C'est donc finalement une aubaine d'un point de vue pratique.
  

Vous vivez à 130 km l'un de l'autre & travaillez donc d'une manière particulière, expliquez-nous l'élaboration d'un morceau,
jusqu'aux enregistrements des démos & de l'album ?

Les choses sont assez simples, car elles sont bien cadrées. David compose la musique chez lui : guitares, machines. Il m'envoie les morceaux,
on en discute, éventuellement il rectifie des choses, et l'on arrive à une version instrumentale qui nous convient. Ensuite, j'écris les paroles
et je place le chant seul, chez moi.
Ainsi, le titre est terminé. Nous ne répétons jamais. Quand on se voit, c'est toujours pour enregistrer, ce qui laisse encore des marges de
manœuvre, au niveau du chant. Mais les choses vont toujours vite, et nous pouvons enregistrer 5 morceaux en une journée sans problème.

Il n'y a jamais eu de problèmes de placement de chant insurmontables, car nous savons très bien ce que nous attendons l'un de l'autre, et
le travail de préparation est effectué de la façon la plus poussée qui soit.
Nos tâches sont bien réparties : à David, la musique, l'enregistrement,
la production. A moi, les paroles, le chant, le site MySpace.
Dans d'autres domaines, comme les visuels, le démarchage des labels, nous travaillons en commun.
  
Vous avez une démarche très intéressante dans votre album (living while the twilight, sorti le 9 mars dernier) qui est de se
démarquer des clichés du black métal (obscurité, haine, satan...) qui finalement sont presque toujours présents & donnent
lieu à des groupes copiant des groupes qui sont déjà des copies . Comment en avez-vous eu l'intention & surtout comment y
êtes-vous arrivés ?

En fait, cela nous semble la moindre des choses, si l'on considère que la musique est avant tout de la création. Ce sont plutôt tous ces
plagieurs sans imagination qui sont remarquables dans le fait de répéter toujours les mêmes choses ! Si l'on s'attarde uniquement sur la
démarche, on peut considérer que les chansons de Dark Funeral, par exemple, suivent le même modèle que celles de Britney Spears :
toujours aborder les mêmes thèmes, la même image, ne surtout pas s'émanciper d'un modèle pré-établi, tout ça pour satisfaire une image,
un public, un label, des ambitions commerciales. C'est risible. Reprendre les mêmes idées dans chaque chanson, en changeant juste les
mots de place, très peu pour moi. De même, David, à chaque projet, m'a proposé une musique différente.

La moindre des choses, comme je disais, quand on prétend créer quelque chose de nouveau, c'est de s'inspirer de ce qui nous entoure,
certes, mais pour l'exprimer à notre façon. Il me semble que nous avons tous une personnalité différente, non ? Il y une quantité infinie
de façons de parler de sujets religieux, sociaux ou encore du désespoir, de la haine, de l'envie, etc.

En fin de compte, cette volonté de nous exprimer à notre façon, sans avoir à respecter un quelconque code, ce n'est ni plus ni moins que
la définition de l'art.

L'album est sorti le mois dernier, de bons échos déjà dessus, de la part du public & des critiques ? 
Il est encore trop tôt pour le dire. Nous commençons à intéresser certains webzines, notre nom va donc se faire connaître progressivement.
Nous avons aussi un peu de soutien au niveau du public.

Je ne dirai pas comme certains que "l'accueil a été exceptionnel". Ça ne veut plus rien dire de nos jours, puisque de très gros groupes
peuvent retomber très vite dans l'oubli. Le monde actuel du métal est une vraie catastrophe, avec la quantité de groupes qui arrivent tous
les jours (je ne les blâme pas, nous en faisons partie), les modes, le côté business tout-puissant qui écrase toute velléité artistique, et en plus
la crise économique.

Notre qualité, si cela en est une, sera à n'en pas douter la persévérance.


En signalant que le groupe ne se produit pas en concert, comment va se passer la suite de la promo de ce premier album ?

Nous laisserons faire le marché ! De toute façon, il n'est pas certain actuellement que des tournées soient un atout indispensable.
Nous n'attendons rien. Nous faisons cette musique avant tout pour nous-mêmes. Nous démarchons actuellement les labels, distributeurs,
webzines, mais nous laisserons aussi venir, car si nous devons percer un jour, alors ce jour viendra.

De nombreux groupes ne font pas de concerts, nous ne sommes pas les premiers. La musique parlera toujours d'elle-même.

Nous sommes les Darkthrone de l'ère post-industrielle !




Pour cette promo en tout cas vous avez le privilège de vous retrouver sur pin-up princess, que pensez-vous du site, des
modèles... ?

Bien que nous ne mélangions pas tous les domaines, je dois dire que le site est bien tenu (je sais que vous y passez du temps), et recèle
une originalité certaine. Tous mes encouragements pour le futur.


Désormais la question que je pose à chaque invité, peux-tu nous parler d'un(e) artiste méconnu(e), musical ou non, à qui
tu voudrais donner un coup de pouce ?

www.myspace.com/hellkev
C'est la page perso de Kev, aka Hugh Grunt, qui est un véritable fondu de musique, et qui perpétue l'esprit fanatique de la grande époque
du métal underground. A partir de sa page, vous pourrez trouver tous ses projets perso (il chante et compose dans de nombreux projets),
ainsi que le lien vers le webzine Yargla, qui nous a ouvert ses colonnes le premier. Il mérite largement le clin d'œil.
Christophe, je te remercie, un dernier mot pour les lectrices & lecteurs & pour le site pin-up princess ? 
Merci à toi de nous avoir offert cette interview. C'est un bon coup de pouce que nous n'oublierons pas. Bonne chance à pin-up princess.
A tous ceux qui passeront sur ce site et liront cet entretien, allez écouter nos morceaux sur MySpace, n'hésitez pas à laisser des
commentaires et à nous contacter, et gardez l'esprit grand ouvert, afin de nous apprécier. A bientôt.

SONIC LANDSCAPES FOR THE LOST SOULS
www.myspace.com/thesouliam      

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www.myspace.com/blytch
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Écrit par Blytch Catégorie : Nos Interviews
Publié le 28 mars 2009 Affichages : 3999
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Interview STILL BURN

par Blytch

 

Après avoir changé plusieurs fois de line up, Still Burn voit véritablement le jour, Septembre 2007 avec l'arrivée de Cédric. Le groupe Picard/Normand décide alors d'entrer en studio afin d'enregistrer leur
première démo 5 titres pressée à 300 exemplaires.
Cette dernière leurs permis de monter sur scène avec de nombreux groupes de Normandie et D'Ile
de France.

Ces nouvelles expériences ont permis au groupe d'acquérir d'avantage confiance en leur
musique et de trouver leur équilibre musicale dans un métalcore simple et efficace. Alternant parties
mélodiques et passages plus violent.

Still Burn sort de studio accompagné d'un nouvel Ep nommé "The Last Breath Before The End
qui devrais permettre au groupe de confirmer sa notoriété locale et conquérir un public plus large.

 

 

Entretien avec Mathieu, chanteur/screamer du groupe.

Salut mathieu, peux-tu nous présenter le groupe en quelques mots ?
Après deux années de perfectionnement technique, de recherches artistiques et de changement de line-up, le groupe s’est vraiment stabilisé en 2007 avec l’arrivée de Cédric en second guitariste. A partir de ce moment là on a commencé à définir notre style en digérant plus ou moins bien les influences de chacun des membres et à se roder sur scène.
Aujourd’hui, notre style évolue encore, bien que de manière plus discrète.

Comment se passe la suite de la sortie de " the last breath before the end " ? L'ep a déjà bien tourné ? Vous trouvez pas mal de dates ? Il y a eu des critiques constructives ... ?

L’accueil de notre EP a été relativement chaleureux et positive. La majorité des critiques sont encourageantes et relativement constructives. Mais il est clair que nous avons encore des progrès à faire.
Concernant les dates, nous arrivons plus facilement à être programmé et l’année 2009 risque d’être intense avec une tournée en Finlande cet été, et la participation à 3 festivals dont le Nao Noïse Festival d’Amiens le 2 Mai et un autre avec Primal Age.

La qualité de l’EP n’y est pas étrangère, mais avoir eu la chance de faire la
première partie de Lofofora nous a aussi ouvert des portes.


Vous jouerez prochainement au gibus, salle mythique du rock, ça vous fait quelque chose de particulier de jouer là-bas ?
Nous sommes relativement contents de pouvoir nous produire là-bas, une date parisienne est toujours valorisante qui plus est dans une salle comme celle-ci. Le fait de jouer dans le cadre du tremplin émergenza mitige un peu nos sentiments. Il est clair que ce n’était pas la date la plus dure à obtenir.

En parlant de concerts, vous avez déjà une certaine expérience, quelques souvenirs à nous faire partager ? Les meilleurs et surtout les pires !!
Les meilleurs souvenirs proviennent de la fête de la musique à Rouen en 2007, mais surtout la première partie de Lofofora qui restera un souvenir mémorable pour nous tous.
Le pire ça a été dans un bar à Amiens où le seul groupe du coin, devant assurer un minimum de promotion a annulé au dernier moment. On s’est retrouvé avec deux autres groupes dans un bar pour jouer devant environ 10 personnes…

Quelques dates sont déjà prévues pour les mois à venir, j'imagine que vous en espérez d'autres; mais après cet été vous continuerez à essayer de vous produire un maximum ou bien il y a déjà l'idée d'un nouvel ep, voir d'un album, qui germe dans vos têtes ?
Enregistrer n’est pas notre priorité, nous ne nous arrêtons jamais de composer, mais nous souhaitons avoir un peu plus de recul sur nos compos avant de passer en studio.
C’est vrai que l’idée d’un album est aussi séduisante. Nous allons tranquillement continuer de tourner en testant nos compos sur le public et voir ce que l’on doit changer voir jeter.

 

Changeons totalement de sujet, comment trouvez-vous le site et le myspace de pin-up princess ?
Personnellement je trouve que l’univers visuel de PUP est très plaisant . Après c’est vrai que l’on est que moyennement attiré par l’univers Fetish/Gotic. Mais on ne peut qu’encourager les gens qui essayent de se démarquer du troupeau par un moyen comme un autre.

Désormais la question que je pose à chaque invité . peux-tu nous parler d'un(e) artiste, musical ou non, à qui tu voudrais donner un coup de pouce ?
Je ne voudrai pas encourager un artiste en particulier, mais tout les jeunes groupes qui galèrent pour se faire connaître. La scène rock et même musicale française est remplie de groupes vraiment très talentueux. N’hésitez pas à sortir, et aller voir des concerts en live, c’est la plus belle forme de soutient que vous pouvez apporter à un artiste. Chercher à découvrir de nouveaux horizons musicaux et culturels, sans
passer par les médias de masse.


Cet entretien arrive à son terme, mathieu je te remercie de me l'avoir accordé; un dernier mot pour celles et ceux qui le liront et aussi pour pin-up princess ?
Ne perdez jamais la fois, la motivation, ni votre bonne humeur. C’est en se bougeant et en profitant de la vie qu’on fait avancer les choses et pas en restant devant sa télé !!

www.myspace.com/stillburnmtl




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Écrit par Blytch Catégorie : Nos Interviews
Publié le 13 avril 2009 Affichages : 4435
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Eating Shit       par Blytch   
 
 
 

Bio :

 

eating Shit s'est formé vers 2000 (projet bourrin en duo à la base). On a un vécu (concerts, autoprods, ajout et départ

de membres) puis plus vraiment ("pause" de fin 2004 à début 2008).

 

Et là, on est repartit à 3, avec une bonne motive...

 

On planche donc actuellement sur notre prochaine autoprod prévue pour ce printemps... ou peut être cet été... en

cours en tout cas !

 

 

Line-up :

 

Braak : Basse - Chants - Programmation

L'anguille : Chants

Freud : Guitares

 


 

 

Interview :

 

 

Salut eating shit, pour commencer vous pouvez nous parler de l'histoire du groupe, qui remonte un peu

& qui fait un vrai come-back depuis le début d'année .

Salut ! On a créé Eating shit à deux à la fin du lycée il y a bientôt 10 ans avec pour but de faire un groupe bien bourrin.

Au gré des rencontres, le line up a évolué mais notre musique est restée bourrine. Après un long stand by, certains se

sont recroisés. Un faux départ début 2008, puis ce sont finalement 3 des 4 membres d’origine qui incarnent le groupe

aujourd’hui, plus la playsation de Braak en guise de boîte à rythme .

 

Et l'histoire du nom du groupe, elle doit être pas mal non plus, d'où vient cet "eating shit" ?

Ben pas tant, à l’époque, ça collait bien à l’esprit grind que l’on découvrait depuis peu. Le vieux film scato allemand avec

lequel Braak nous à traumatisés à dû aussi jouer un rôle subliminal.

Aujourd’hui, le nom nous correspond toujours et représente une belle métaphore de notre société : « Manger de la

merde », « fabriquer et acheter des objets de merde », « regarder des merdes à la télé », « écouter de la merde »,

« voter pour de la merde », on continue ?

 

Le grindcore est souvent source de préjugés, car il contient une certaine "violence musicale",

malheureusement l'amalgame est fait avec "violence tout court", comment lutter pour faire écouter sa

musique dans un cas pareil ?

Rencontrer des gars sympas comme Blytch pour te faire une promo hors scène métal !!

Sinon, dur de lutter. Quant il s’agit de métal, les gens font très souvent preuve d’intolérance et d’amalgame. Tout est

dans le même bain : les gothiques sont des black metalleux qui sont eux-même des fachos, le trash c’est pareil que le

death, c’est du bruit au final, etc. Associe à ça l’attitude et propos de certains groupes et tu verras que promouvoir du

grind au commun des mortels, ce n’est pas gagné.

Si le public métal apprécie, c’est déjà beaucoup, le reste c’est plutôt du bonus.

 

Ces amalgames qui donnent lieu à une galère pour être entendus, c'est une des grosses raisons de la

pause du groupe entre 2004 & 2008 ?
Pas du tout ! On n’a jamais eu de souci de ce côté-là, on a toujours été un groupe souriant ! Musicalement, on avançait

(2 autoprods, des lives) puis après un dernier concert, on s’est simplement perdu de vue. Chacun a suivi son chemin.

 

Pourtant le grind est loin d'être du "bourrinage", déjà par sa vraie qualité musicale, quelles sont vos influs

principales là-dedans ?

Même si on écoute tous du métal extrême et qu’on aime quand ça blast, à nous 3 on a une certaine ouverture d’esprit qui

nous permet d’inclure des passages de toutes influences. Freud fait des riffs qui tuent ! Et à partir de là, ça s’enchaîne au

gré des envies du moment. Et on retrouve donc des passages qui vont du black metal au reggae !

 

Mais c'est aussi un style avec un côté engagé, vous pouvez-nous en parler un peu ?

Les gens l’oublient, mais le grind c’est aussi ça à la base.

Nous, nous avons choisi de le mettre en avant à partir de la démo « World of Shit » et cela continuera avec les prochaines

autoprods, surtout tant que L’anguille s’occupera du visuel.

On ne peut pas changer grand chose à l’homme mais on peut lui rappeler que la souffrance existe.

 

 

Vous êtes publiés sur un site de princess & de tête je vois aucun groupe grind avec une ou des filles,

pourtant elles sont pas mal à en écouter, vous avez une explication ? .

C’est vrai qu’il n’y en a pas des masses, elles veulent peut-être pas rendre véreux les gars en faisant mieux qu’eux ?

Nous en tout cas, vous pourrez certainement entendre la femme de L’anguille en guest vocal sur le prochain disque (et

pas en chant lyrique!).

 

En parlant de notre site de princess, justement comment trouvez-vous pin-up princess ?

Bien sympathique ! Ça change de promouvoir des modèles qui n’ont pas la peau sur les os. De donner sa chance à toutes

est aussi une bonne chose. Et la page pour les groupes, c’est la cerise sur le gâteau…

 

Désormais la questions que je pose à chaque invité, pouvez-vous nous parler d'un(e) artiste, musical(e) ou

non, à qui vous voudriez donner un coup de pouce ?

DK Dance d’Annecy et leur électro black punk bizarre mais bien foutu.

 

Comment s'annonce la suite pour le groupe ? prévisions de concerts, nouveau cd... ?

On va essayer de torcher notre 3ème autoprod pour cet été. Après ce sera diffusion, recherche de concerts, de compils

qui voudront bien de nous et après une pause de 6 ans, on fera une autre autoprod… lol

 

Eating shit je vous remercie pour l'interview, un dernier mot pour les lectrices & lecteurs & pour le site

pin-up princess ?

Merci bien pour votre accueil, longue vie à vous. Passez nous rendre visite sur notre page.

 

 

http://www.myspace.com/eatingshitgrindcore

 

 

blytch

http://www.myspace.com/blytch

http://www.myspace.com/blytch_modelz

 
Écrit par Lavandra Catégorie : Nos Interviews
Publié le 24 mars 2009 Affichages : 4297
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 Unknown Destinations

24 mars 2009 - par Lavandra

 
Salut Unknown destinations, présentez nous un peu le groupe. 
Nous sommes une formation musicale parisienne. Nous sommes cinq passionnés
de hard rock, metal, et autres formes de rock. Notre groupe est composé de Tommy
à la batterie, Joker à la basse, Arthur à
la guitare soliste, Mika à la guitare soliste et
enfin Sad Bride au chant.

Nous sommes formés depuis maintenant un an et demi et même si notre line up a
subi quelques changements depuis le début notre passion est toujours la
même et
nous prenons toujours autant de plaisir a jouer et à composer ensemble.



 
Vous êtes assez jeunes, je suppose que les membres du groupe ne vivent pas de la musique, 
vous êtes étudiants ?

Tommy : justement j'essaye d'en vivre puisque je cherche a devenir ingénieur du son, je suis à la SAE
une école de son et je travaille à coté sur de nombreux concerts,
pièces de théâtre et autres spectacles.
Mika : Exactement, Arthur et moi sommes en terminale, les autres en études supérieures sauf Sad Bride
qui a arrêté la fac pour le moment.

Sad Bride : En effet j'ai arrêté momentanément les études pour me consacrer a la musique, mais j'ai
l'intention d'intégrer une école de chant l'année prochaine.

Joker : Et moi je suis en fac de langues.




Est-ce que ce n'est pas trop difficile de tout combiner, à quelle fréquence répétez-vous ? 
Arthur : Non c'est une passion pour nous alors on s'arrange toujours pour pouvoir jouer ensemble, y'a
pas de fréquence très définie mais en général entre 2 et 4 fois
par mois
Tommy : avec les études de chacun c'est sur que ce n'est pas facile de trouver des créneaux mais nous
nous efforçons de créer une régularité.
Comment l'aventure Unknown Destinations a-t-elle commencée, par quelles rencontres,  
et est-ce que le line up actuel est celui d'origine ?

Sad Bride : L'aventure a commencée tout d'abord entre Mika et moi, nous jouions dans un groupe
ensemble auparavant, jusqu'a ce qu'une dispute avec notre bassiste nous
amène a la laisser tomber.
Nous nous sommes donc mis avec Mika et Charlie (notre
ancien batteur) en quête d'un nouveau bassiste
et c'est Joker, un ami de longue date
de Mika que nous avons retenu, de par son niveau musical mais
également
humoristique.
Arthur s'est joint a nous quelques semaines plus tard et j'ai décidé a
ce moment d'arrêter la guitare dans
le groupe et de me consacrer au chant. Nous
étions au complet et avons commencé a composer tous
ensemble, jusqu'en juin 2008, où
nous avons décidé de nous séparer de Charlie et d'engager Tommy
à sa place, que
j'avais rencontrer au hasard d'une salle de répétition, à l'époque où il était batteur du
groupe Victory Notebook. Depuis nous sommes encore plus productifs et
nous progressons de jour en jour.



 

Pourquoi ce nom, une symbolique particulière ?
Mika : Ca vient de la chanson trashed and scattered d'Avenged Sevenfold, un groupe dont nous sommes
tous fans. Il symbolise bien notre point de vue car nous ne savons
pas ou nous allons !


Pourquoi un nom et des paroles en anglais ? 
Arthur : C'est un aspect presque obligé pour notre style musical, le français est très dur a faire passer dans
le hard rock et le métal, l'anglais est plus mélodieux

Tommy : Nous trouvons que l'anglais est agréable à chanter et à écouter, sans compter sur l'aspect international
de cette langue.

Sad Bride : Je ne me sens pas à l'aise avec le français dans les chansons, et particulièrement dans le metal,
je n'ai ni le talent de Mathieu Chédid ni celui de
Rimbaud pour donner au français la beauté et la poésie qu'ils
lui impriment.

Joker : Et aussi parce qu'on a du mal a composer en slovaque.....


Qui sont vos influences et quelles sont vos principales sources d'inspiration ? 
Arthur : pour ma part c'est large des rolling stones et deep purple à avenged sevenfold, en passant par les
guns'n'roses, metallica, megadeth et iron maiden (la
liste est bien trop longue pour tout citer).
Tommy : mes sources d'inspiration à la batterie sont Chad Smith (Red Hot Chili Peppers) et Rage Against The
Machine.

Mika : Avenged Sevenfold, Bullet For My Valentine, Galneryus, et beaucoup d'autres.
On s'inspire de nos expériences vécues pour composer et trouver les paroles.
Sad Bride : Avenged Sevenfold, Escape The Fate, Motley Crüe, Blessed By A Broken Heart.
Joker : Avenged Sevenold, Iron Maiden, Guns'n'Roses, Pantera, et Didier Super pour les riffs les plus hardcores.


Comment se passe votre processus de création, la composition des mélodies, écriture des paroles,
etc. ?

Tommy : c'est une ligne de guitare que fera la base de chacune de nos chansons, ensuite chaque musicien vient
poser sa ligne instrumentale, la batterie et la voix
sont généralement les dernières à être crées.
Joker : En d'autres termes les trois chevelus composent , celui avec les anglaises ecrit des paroles, et les deux
couillons de la section rythmique se demerdent.



Racontez nous l'aventure Fallenfest, pour laquelle vous êtes donc en finale en juin. 
Arthur : C'est une aventure qui à commencer simplement comme un moyen de faire des scène connues tout en
s'amusant et en touchant le maximum de gens, c'est un défi
pour nous à chaque fois d'essayer de s'améliorer et
de convaincre le public en face
de nous.

Quel regard portez-vous sur votre région en matière de musique ? 
Y a-t-il des groupes
dont vous vous sentez proches ?

Arthur : On est dans une région très riche en groupe de tous genre surtout en hard rock métal je trouve la scène
parisienne assez développée par rapport à la France.

Tommy : Paris est une ville propice au développement musical,
il y a de nombreux
jeunes groupes comme nous et nous nous efforçons tous de nous faire une place. dans un sens
nous sommes tous proches au niveau motivation car chacun envi de réussir,
néanmoins nous essayons de donner
un style unique à notre musique.


Combien de concerts avez-vous à votre actif et quelle est l'importance du live pour vous ? 
Tommy : Etant arrivé après je n'ai fait que 5 lives avec Unknown mais j'en ai à mon actif plus d'une vingtaine en
tant que musicien et bien une cinquantaine en tant que
technicien.
Sad Bride : Pour l'instant nous n'avons que 8 concerts a notre actif mais nous prenons toujours plus de plaisir à
monter sur scène et a tester nos chansons sur un
public qui ne nous connais pas ou peu. Pour nous le live est le
plus important dans
la musique et nous nous déchainons sur scène afin de passer un moment agréable et intime
avec notre public.

Joker : Une dizaine de concerts, pas forcément dans les meilleurs conditions, ca forge l'expérience et ca permet
d'effacer le trac.


Quels outils promotionnels utilisez vous ?
Myspace, facebook, la radio, et surtout notre réseau d'amis.
De manière générale quels sont vos projets et ambitions ? 
Tommy : Gagner la finale du fallenfest à la cigale en juin afin de gagner de nombreux jour en studio pour
enregistrer un album/EP, rechercher un Label pour
promouvoir notre musique, et surtout par la suite essayer
de vivre de notre musique

Mika : Etre des ROCKSTARS ?
Arthur : Continuer à faire ce qu'on aime avant tout.
Sad Bride : Continuer la musique coute que coute et si possible réussir à en vivre. (me faire tatouer les bras
jusqu'a ce qu'il n'y ai plus de place aussi...)

Joker : je veux devenir maitre du monde et obtenir le brevet de la fontaine a pop corn intarissable.....
 
"fallin' away" @ la boule noire
 "valentine's day" @ la boule noire
 "what's the point of being a vampire if I can't bite your neck" @ la boule noire
 
 http://www.myspace.com/unknowndestinations
 
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